Le substantif féminin[1],[2],[3] « biscotte » est un emprunt[1],[2] à l'italien biscotto, composé du préfixe bis- et de cotto, participe passé de cuocere (« cuire »)[2], signifiant « cuit deux fois ». Le dictionnaire de l'Académie française mentionne un usage du mot dès le début du XIXe siècle, en 1807[4],[5].
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Les informations nutritionnelles indiquées ci-dessous le sont pour 100g de matière.
Minéraux : Biscotte sans adjonction de sel
| Valeur énergétique (kCal) | 405 |
| Chlorure de sodium (sel) (g) | 0,046 |
| Calcium (mg) | 23,5 |
| Cuivre (mg) | 0,18 |
| Fer (mg) | 1,3 |
| Iode (µg) | 6,3 |
| Magnesium (mg) | 22,5 |
| Manganèse (mg) | 0,7 |
| Phosphore (mg) | 121 |
| Potassium (mg) | 161 |
| Sélénium (µg) | < 3,35 |
| Sodium (mg) | 18,1 |
| Zinc (mg) | 7 |
| Données issues de la base Ciqual éditée par l'Anses | |
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D'après l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) :
Outre de l'eau et des matières organiques (macronutriments), les aliments nous apportent également des matières minérales, pour certaines indispensables au bon fonctionnement de notre corps. Une vingtaine de matières minérales présentent ainsi un caractère essentiel chez l'homme.